L'univers de la confiserie n'a jamais cessé d'évoluer. C'est pourquoi Europe-Entomophagie a mise au point une recette unique de sucette vers de farine à la banane. Cette friandise à l'arôme naturel contient quelques vers figés dans le bonbon. Un produit original à essayer d'urgence !
Fabrication artisanale française
La sucette, nous n'avons pas vraiment besoin de vous expliquer de quoi il en retourne. Le ver de farine, en revanche, c'est une autre histoire. Il s'agit en fait de la larve d'un coléoptère appelé ténébrion meunier. Ce petit insecte est très riche en nutriments car il a besoin de l'énergie nécessaire à son évolution du stade larvaire à celui de coléoptère adulte. Richeen protéines, vitamines et minéraux, le ver de farine possède aussi un goût chips croustillant pas piqué des vers. Cet aliment très polyvalent peut également être aussi utilisé afin de préparer des plats salés ou sucrés. Il est excellent dans des patisseries et dans les plats comme la quiche ou la pizza.
Voilà qu’aujourd’hui, après des centaines d'années durant lesquelles les insectes ont été bannis de nos assiettes, nous pouvons redécouvrir ces aliments naturels. Pour rendre la première expérience d'entomophagie (consommation d'insectes) plus facile, nous avons décidé de crée des friandises aux insectes. C'est toujours plus facile de goûter quelque chose de nouveau avec du sucre et des arômes naturels. Vous verrez, avec nos sucettes, se mettre à l'entomophagie, c'est très facile. Sans vous en rendre compte, ou presque, vous mangerez des punaises d'eau géantes et des scarabées rhinocéros…
La sucette vers de farine à la banane conçue et fabriquée par un artisan confiseur français a tout pour plaire. Elle est tout d'abord délicieuse, mais aussi très originale et belle à regarder avec sa couleur jaune profonde. Si jamais la banane n'est pas votre tasse de thé, nous disposons de toute une gamme originale et insolite de sucettes différentes aux insectes comestibles. Nous en sommes convaincus, l'ONU aussi, il s'agit là de l'avenir de l'alimentation humaine. En 2050, quand nous serons 9 milliards sur Terre, il faudra bien qu'on ait une source alternative de protéines animales. Evitons si possible les scénarios catastrophes de certaines oeuvres de science-fiction qui nous dépeigne une humanité devenue cannibale.
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